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 Essai de littérature "La forteresse du crépuscule"

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Orion
Paysan (niveau 1)
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Orion

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MessageSujet: Essai de littérature "La forteresse du crépuscule"   Essai de littérature "La forteresse du crépuscule" EmptyMer 9 Aoû 2017 - 8:33

Bonjour voila après un long moment d'absence je reviens avec un nouveau projet. Cette fois-ci c'est de la lecture donc s'en plus attendre voila le premier chapitre intitulé course-poursuite:

Le souffle court et la respiration bruyante, lui rappelait qu’il était à bout. Les vêtements noir du nécromancien étaient collé à sa peau par la sueur, et des gouttes barrait son visage brouillant dangereusement sa vision. Il cligna des yeux lorsque le soleil frappa son visage à l’entrée de la clairière. Une clairière douce et harmonieuse comme il les aimait, le genre d’endroit qu’il aimait voir se transformer en lieux de mort et de putréfaction. Mais il n’avait pas pas le temps. Et il le savait, aussi ne s’y arrêta-t-il pas et la traversa au pas de course Il pritt quand même soin de cracher une fois avant d’enjamber la rivière qui traversait de long en large la clairière.
Le crachat atteignit le sol en même temps que le mage noir finissait de traverser la rivière, il fuma légèrement et laissa une petite tache noir là où il était tombé. Une petite tache de terre noire et dure où jamais plus l’herbe ne pousserait.
Au moment où le mage posait le second pied de l’autre côté de la rivière, il sentit qu’il perdit l’équilibre et jura intérieurement. Il réussit néanmoins à se rattraper en posant un genoux à terre.
Tandis qu’il se relevait, il sentit quelque chose derrière lui, se retourna et fit mine de ne pas être surprit. Devant lui se tenait un jeune homme, serrant dans ses mains une épée qu’il pointait dans sa direction. Le jeune homme, écharpe au vent lui intima de ne plus bouger, et pour la première fois le mage sourit. Il cracha à ses pieds, et fut content quand il vit les yeux de son adversaire s’écarquiller.
Le combattant à l’écharpe rouge, se reprit et exigea qu’il lui dise où se trouvait Cyndella. Quand le mage lui répondit se fut pour cracher qu’il ne trahirait jamais celle qu’il l’avait initié et qu’il préférait mourir.

A peine, le mage avait il répondu, que son adversaire explosa de rage, criant, crispant ses mains sur son épée, il se jeta sur le nécromancien. Il le percuta avec son épaule avant même que celui-ci est compris ce qu’il se passait et le mage s’effondra. Le jeune guerrier emporté par sa rage, lui lança son pied dans les côte, ce qui coupa le souffle du mage. Avant qu’il ne se reprenne le jeune homme, lui envoya un second coup de pied dans le visage, qui fit exploser son nez dans une gerbe de sang se répandant sur l’herbe et laissant les même taches noires que les crachats. Le mage noir cracha, et éclata d’un rire tonitruant, laissant aller sa fureur il cria au jeune homme la vérité. Il n’était qu’un appât destiner à l’éloigner de Cyndella et permettre à celle-ci de prendre suffisamment d’avance. Et jamais il ne lui dirais rien qui lui permettrait de la retrouver.
Le jeune homme hésita un moment, perturbé par l’information. La rage s’était atténuer, pour laisser place au doute. Le mage poussa son avantage plus loin en lui aboyant, qu’il n’était qu’un faible et qu’il ne plierait jamais qu’importe ce qu’il lui ferait subir. De son coté le jeune homme semblait de plus en plus confus, un dilemme s’imposait à lui, jusqu’où était il prêt à aller ? Il avait déjà user de pareil procédés, mais ce qu’il s’apprêtait à faire dépassait ses précédentes expériences. Finalement il cessa de s’agiter et s’avança vers le mage noir. Malgré son visage qui exprimait un certain mal être, le jeune guerrier ne cilla pas quand il leva sa lame. Le mage lui cracha dessus, mais d’un mouvement leste, il esquiva et abattit son épée qui vint finir sa course dans la gorge de du mage. Le jeune homme fit une grimace quand il entendit le bruit de craquement de la colonne écrasée et le gargouillis du sang qui s’échappait du cou du mage.

La nuit finit par tomber sur la clairière éclairée par un feu qu’avait allumé le jeune homme. Il avait eu beaucoup de mal à admettre qu’il avait été aussi loin. Et plus encore quand il avait du saisir la tête coupé du mage. Il l’avait vite jeté au feu et avait attendu quelques heures puis il l’avait retiré avec un bâton, enfin il avait pu commencer lorsque la lune était monté bien haut l’éclairant de ses rayons laiteux.
Il avait prié le dieu du monde des morts d’estomper la barrière entre les deux mondes, et après un long moment il l’avait entendu. La voix du mort. Le mage s’était montré surpris qu’il manipulât lui aussi d’aussi obscures pouvoirs.
Je connais tout de toi, avait-il susurré, les esprits parlent beaucoup d’Arken le sang-damné. Mais Arken ne lui avait pas laissé beaucoup plus de temps et l’avait mangé.

Arken avait honte de ce pouvoir, et il avait essayé de ne jamais l’utilisé. Il se sentait poisseux après. Il sentait littéralement l’esprit du mort glissé sur lui comme un serpent glissant sur sa peau. La seul autre fois avait été un combattant, un père de famille mort depuis déjà longtemps. Mais là la culpabilité étaient décuplé, il avait tué pour pour pouvoir mangé une âme. Arken se sentait vacillé, qu’était-il, un meurtrier, nécromancien comme le mage. Sa quête avait-elle encore de la valeur, plus que la vie des gens qu’il arrachait ?
Il se coucha pour pour tenter d’éteindre ses doutes, mais même derrières ses paupières closes ils arrivaient à l’assaillir. Arken attendit longtemps, se tournant et se retournant avant, qu’exténué il ne chute dans un sommeil peuplé de cauchemars.

Arken se retrouva au pied du pic de l’ermite, l’air était frais et les première neige tombait. Sous un ciel légèrement voilé où perçait d’étrange rayons lumineux. Il l’a vit, immobile, tacheté de sang, des habits de bretteur et un masque blanc désormais tristement familier.Son esprit lui intimait de rester loin de l’étrange et morbide personnage. Mais il pouvait s’empêcher de lui crier dessus, de lui en vouloir et aussi de se demander, pourquoi ? Qu’est-ce qu’elle y gagnait, pourquoi tant de cruauté, toutes ces question tournait dans sa tête et l’empêcher de vraiment réfléchir. Il baissa les yeux, et quand il les releva, elle était là juste devant lui, prête à frapper et puis elle abattit son épée traçant un large sillon dans la poitrine d’Arken.
Il s’éveilla en sursaut, criant au-delà de se qu’il croyait être capable. Il y avait cru, il pensait mourir, encore une fois. Mais cette fois ci c’était un rêve. Machinalement il avait porté sa main à sa poitrine, il pouvait presque sentir la cicatrice dût à la terrible blessure. C’était bien là la seule chose qui coïncidait avec la réalité. Ne cherchant pas à s’attarder plus sur ce souvenir, il se leva brusquement et se mit en route pour la nouvelle destination que lui soufflait l’esprit du mage, le Marais gris.
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