[Terminé] Création d'un personnage de JV

Age : 25
Caractère : Solitaire
Histoire : Asocial et violent, il quitta sa famille pour devenir un mercenaire au service de qui le de voudra

Un verre d'eau, de la viande, et une taule en guise de toit lui suffisent à vivre convenablement.

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Nom :
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Jeter P. Blaylock


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Age :
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28 ans, même s'il paraît plus vieux


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Rang social :
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Noble (rang : Baron)


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Fonction :
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Prime Minister du Royaume d'Angleterre


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Histoire :
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Jeter Peter Blaylock est le Prime Minister du Royaume d'Angleterre, gouverné par la Reine Victoria. Mais, avant tout, c'est un homme-machine. Suite à une maladie rare, la partie gauche de son corps est devenue paralysée. Pour survivre, il dut devenir mi-homme, mi-machine.

Malgré la ségrégation qui touche les Hommes ayant des parts de machines, il put devenir le Prime Minister du Royaume grâce à son esprit manipulateur. Mais, il compte bien utiliser sa position pour donner les mêmes droits que les Humains aux demi-machines.
Quitte à être l'ennemi de toute la Noblesse, qui ne voit pas d'un si bon oeil cette volonté de changer les mentalités.

Son enfance, son adolescence ? Il ne s'en soucie guère. La seule chose de certaine est qu'il est diplômé de l'université d'Oxford.


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Environnement de vie et caractère :
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L'environnement dans lequel vit Jeter est dur, au point de plus faire confiance à des machines qu'à des humains.
Au moins, les machines ne vous trahïront jamais. Etant mi-machine, il connait l'exclusion. Mais la mentalité des
nobles l'a endurci. Bien que ne pouvant pas vraiment se déplacer comme il le désire, Jeter est un manipulateur. Mensonge, fourberies, ruse, alliances et trahisons... C'est un spécialiste du jeu de l'esprit.
Pourtant, même si c'est une personne dangereuse, il est profondément loyal à la Reine Victoria depuis toujours. Au point même que la Monarque est la seule personne humaine en qui il peut faire confiance.
Il n'a que peu d'amis, mais ses fidèles ne le trahiront jamais, malgré le milieu dans lequel ils baignent tous : la politique.

Enfin, à cause de ses idées, il est souvent victime de tentatives de meurtre, que ce soit par des fanatiques de la supériorité humaine ou par la Noblesse. La fréquence répétée de ces attentats est telle qu'il est maintenant insensible à la peur de la mort, lui donnant un calme olympien à toute épreuve.


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Particularité :
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Ayant perdu la motricité de tout son côté gauche, celui-ci est devenu une machine avec des parties d'automates. Pour se mouvoir, il utilise sa main droite (avec les doigts) et sa tête. Avant, il s'aidait d'une canne pour marcher. Ca ne fait que depuis peu de temps qu'il arrive à remarcher de ses deux jambes. Mais, c'est un réflexe, il garde cette canne.


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Une phrase fétiche :
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Douter n'est pas un mal. Rester ignorant ou être indifférent l'est.
Doutez les autres, regardez au fond de leur coeur, de leur esprit et apprenez d'eux.
Seulement après, vous posséderez une force insoupçonnable.

Surnommé l'ange de la justice.
Marcus perdit son père et son avant-bras gauche lors d'une guerre civile qui débuta il y a 7 ans (Marcus était alors âgé de 18 ans) et dura près d'un an. Depuis, il s'attaque aux diverses formes du pouvoir exercé sur les peuples. Il a réussi à former une forte communauté qui ne cesse de compter de nouveaux adeptes.
Cet homme est fasciné par la vie en société des fourmis, notamment par la capacité de certaines espèces de se rebeller contre une autre espèce qui les avait asservis.
Marcus est rusé, il a peu recours à la violence physique. Il se bat avec ses armes : Soumission, composée de trois lames tranchantes, censée impressionner l'adversaire et Rebellion, une fourmi
mécanique qui réagit à la chaleur, dégageant ainsi un gaz très irritant.

Joward Gadrim, 27 ans, professeur de l’école nationale supérieure de StreamArc :
Ce colosse de un mètre quatre-vingt-dix et de quatre-vingt-quinze kilos était, durant son jeune âge le plus grand génie du bricolage et des engrenages complexes de son époque.

Ce brun mystérieux en cotte de mailles et au regard noir profond semblerait cacher un lourd passé peuplé de tourmentes et de chagrins mais il le cache avec un sourire rieur et une attitude désinvolte lui permettant de faire bonne figure devant tout le monde.

Déambulant régulièrement d’un pas léger faisant frotter son saroual ocre aux reflets cuivrés, et coque cliquant ses brodequins noirs suie, il aimait courir dans son atelier et passer son temps hors cours à bricoler des pompes à vapeur et des engrenages entrainant des pistions. Utilisant ça et là les propriétés des liquides et osant même les solides dans certains cas.

Lors d’une découverte ou quand il était émerveillé, il remuait avec le pouce droit sont nez aquilin et tâtait sa gourde de la main gauche comme pour en vérifier le contenu. Certains disent que c’est de la goute sortie tout droit d’une de ses expériences et qu’elle expliquerait à elle seul le regard noir et la mine joyeuse.

Mais c’est mal connaitre Joward, car sa drogue c’était les inventions mécaniques. Une fois en classe, il proposa à ses élèves de le suivre dans son atelier et de tester l’ensemble de ses trouvailles puis d’en choisir une comme devoir du mois pour l’améliorer ou proposer une alternative. Le défi était très dur pour les élèves, mais le maitre était si passionnant que l’ensemble de ses apprentis se donnaient vraiment beaucoup de mal pour rendre n devoir à la hauteur de son génie. Il faut dire que le professeur Gadrim savait récompenser comme il se doit les disciples méritants, même ceux qui ne réussissent pas leurs devoir mais qui se sont donné du mal.

Souvent, lors du rendu des copies, il descendait les lunettes qu’il avait toujours sur son couvre chef et, appuyant sur un bouton à peine visible, il commençait à lire les notes

Nom: Elias C. Sharp
Age: 26 ans
Profession: Détective privé





Elias Colin Sharp nait le 8 février 1843 au alentours du compté de Hazy Fork. C'est le fils de Adam Sharp et de Alice Elders, tout deux d'ascendance bourgeoise. Elias est l'ainé d'une famille de trois enfants, comprenant son frère Samuel (né en 1845) et sa sœur Rachel(née en 1849).

En 1849 il est placé dans une établissement privé d'inspiration très religieuse. Elias y passa les premières années de sa vie et ses résultats scolaires bien que irréguliers lui permirent de se diriger vers de brillantes études scientifique. Passionné par la recherche et l'espace, son but, largement encouragé par son père, était de devenir géographe.

Le jeune Sharp pourtant n'était guère porté sur les études. A l'age de 17 ans ce dernier était fougueusement épris de Agnes Hoggins, jeune fille de deux ans sa cadette et également native d'une famille de la haute société. Les sentiments de Elias étant réciproque, les jeunes gens préféraient entretenir leur relation et préparer leur radieux futur avec insouciance plutôt que de songer a leur carrière respective.

En fait de carrière, Agnes était depuis longtemps fiancée a Sir George Malone, aristocrate de quarante ans, anobli. L'annonce du mariage de ces deux partis coïncida avec la décision de Adam Sharp d'envoyer son fils dans un petit village situé non loin de la capitale, prioritairement pour la poursuite de ses études, mais également pour l'éloigner de miss Hoggins. Le couple se sépara douloureusement, les deux amants durent renoncer l'un à l'autre et sceller leur chagrin au fond de leur cœur.

Elias garda une profonde rancune envers ses parents à la suite de ces évènements, la poursuite de son cursus scolaire devint de plus en plus chaotique, n'arrivant plus a trouver d'intérêt pour quoi que ce soit après ces évènements. L'annonce par télégramme que Agnes Malone, anciennement Hoggins attendait un enfant fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Du jour au lendemain, le jeune homme ne vint plus en cours et disparu de la circulation.

Elias s'était exilé dans la ville la plus proche, et se retrouvait, âgé de 18 ans, seul dans la rue. Il multiplia les petits boulots, déguisant légèrement son nom. Grand amateur de romans policier, il décida après avoir amassé un peu d'argent d'ouvrir un petit cabinet de détective privé, son goût pour les chiffres et la logique aidant.

Pendant cinq ans il s'occupa tant bien que mal de quelques petite affaires de particuliers, la demande la plus courante était de filer l'épouse d'un mari soupçonneux et vice-versa. Néamoins sa grande minutie en dépit de son jeune âge commençais à intéresser les service officiels de police, et il lui arriva de collaborer avec cette dernière à quelques reprises.

Un soir son chemin croisa celui de Emily McDermot, jeune demoiselle de 20 ans, travaillant dans un petit bar du centre-ville. Elias avait lentement oublié son ancienne liaison, aidé par le travail et l'alcool, et s'éprit bien vite de la jeune Emily. Il devint un client régulier du bar, passant de nombreuses soirées à discuter avec la demoiselle, qui semblait également l'apprécier. De fil en aiguille, ils ne tardèrent pas à entretenir une relation « officielle ». Miss McDermot étant d'un constitution fragile et son maigre salaire ne lui permettant pas de se loger convenablement, le couple fit rapidement ménage commun. Une douce routine s'installa pendant presque trois ans, bien que la santé de Emily déclinais d'année en année, jusqu'au jour ou Elias se vit confier une affaire d'une importance sans précédent.



Elias, de part son passé bourgeois, est un homme cultivé et sensible aux choses de l'esprit. Le rancœur qu'il cultive envers sa famille et l'aristocratie en général l'a malgré tout conduit à renier cette part de son éducation et n'hésite pas à faire fi de la plupart des règles de bienséances de ce milieu. Il est en règle générale calme et réfléchi mais peut parfois entrer dans de violentes colère qui l'amène à dire ou faire des choses qu'il regrette ensuite. Son jeune âge le dé-crédibilisant légèrement au sein de sa profession, il adopte souvent une attitude sure de lui et peut se montrer caustique vis-à-vis de ses clients afin de compenser son âge. Il reste néanmoins respectueux envers la gente féminine et ce même lorsqu'il a un peu trop bu. Elias est depuis longtemps légèrement porté sur la bouteille, c'est un sujet de dispute fréquent avec sa compagne.